08h30
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Accueil
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09h00
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10h15
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F. Lucas, N. Van Dijk, et Ch. Vanpachterbeke (1)
Construire la numération de position décimale en continuité de 2,5 ans à 12 ans |
R. ScrĂšve (2)
Géométrie des nombres |
J. Dagenais (2, 3)
La technologie dans les cours de maths |
M. Demal, J. Dramaix et S.Lafot (2, 3, 4)
Pythagore, une histoire de corde, de noeuds, et dâeau |
R. Choulet (3, 4)
Le dĂ©rivĂ© arithmĂ©tique dâun nombre |
10h15
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Pause café
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10h45
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12h00
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Jean-Marie De Ketele
LâĂ©valuation de tĂąches complexes
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12h00
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DĂźner
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13h45
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15h00
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S. Petit (1)
Représentation graphique et résolution de problÚmes |
R. Faber, J. Poisseroux, S. Richelot et C. Thirion (1, 2)
Les tables de multiplication : au-delà du compte ! Un dispositif tutoré de remédiation en ligne |
Y. Noël (2, 3)
Jeux et nombres |
P. Dewaele (tous)
Un tableau blanc interactif ; pourquoi et pour quoi faire ? |
P. Lecomte (3, 4)
CaractÚres de divisibilité, systÚmes de numération et calculabilité |
15h00
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Pause café |
15h30
Ă
16h45
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A. Camenisch et S. Petit (1)
Albums Ă compter et apprentissages pluridisciplinaires |
Chr. Ginoux (2)
Le Fractionary Ă la fin de lâĂ©cole primaire et au dĂ©but du secondaire |
J. Dagenais (1, 2, 3)
Intégrer un TNI dans ma classe de mathématique |
M. Demal, S. Higny et A. Malaguarnera (2, 3)
Pythagore dans les triangles rectangles, pas uniquement avec des carrés ! |
J. Bair et Fr. Bastin (3, 4)
La transition secondaire-université dans le cadre du cours de maths : un sujet de réflexion pour tous |
17h00
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AG et Ă©lections
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18h00
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RĂ©ception Ă lâhĂŽtel de ville
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19h30
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Banquet
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1 : enseignement fondamental, 2 : 1re, 2e et 3e du secondaire
3 : 4e, 5e et 6e du secondaire, 4 : enseignement supérieur
Résumés
De 9h00 Ă 10h15
F. Lucas, N. Van Dijk, et Ch. Vanpachterbeke
Construire la numération de position décimale en continuité de 2,5 ans à 12 ans pour en assurer une véritable ma?itrise au service de la compréhension des nombres et des procédures de calcul
Niveau : 1
â Mettre lâaccent sur lâapproche plurielle des nombres, oser trĂšs tĂŽt, les grandes quantitĂ©s et la question de leur organisation pour pouvoir les exprimer.
â Proposer des matĂ©riels nombreux complĂ©mentaires conservateurs puis non conservateurs et favoriser ainsi la gĂ©nĂ©ralisation et lâĂ©laboration de solides images mentales.
â Mettre en confrontation la logique des chiffres et celle trĂšs diffĂ©rente des mots pour renforcer le sens de chacune.
â Prendre appui sur des numĂ©rations autres dâici et dâailleurs dâaujourdâhui et dâhier pour aider Ă la comprĂ©hension de notre propre systĂšme. SâintĂ©resser Ă lâhistoire des mathĂ©matiques.
â DĂ©mystifier la numĂ©ration des grands nombres, la rendre accessible par la rĂ©fĂ©rence Ă des matĂ©riels et des manipulations simples.
R. ScrĂšve
Géométrie des nombres
Niveau : 2
Les liens entre la gĂ©omĂ©trie et les nombres sont au coeur de lâĂ©volution des mathĂ©matiques dĂšs les premiers balbutiements. Au travers des nombres polygonaux (triangulaires, carrĂ©s, rectangles, pentagonaux, hexagonaux, . . . ), un parcours semĂ© de jolies propriĂ©tĂ©s algĂ©briques est utile pour les activitĂ©s mathĂ©matiques au premier degrĂ©. La manipulation des polyĂšdres peut assez facilement amener de travailler sur la formule dâEuler-Descartes et un travail sur les nombres naturels.
Le travail sur le paradoxe de Fibonacci est aussi intĂ©ressant pour obtenir une situation problĂšme sur les alignements de points mais peut ĂȘtre la source de calcul trigonomĂ©trique câest une situation quâon peut utiliser et rĂ©utiliser de la 1R Ă la 4R de maniĂšre spiralaire. Franžcois Drouin vous a dĂ©jĂ fait dĂ©couvrir le puzzle Ă trois piĂšces en 2003 Ă Forest, Ă lâaide dâun quadrillage, pourquoi ne pas utiliser les aires pour faire apparaĂźtre des nombres rationnels. Le Tangram est aussi un outil qui peut relier la gĂ©omĂ©trie et les nombres rationnels. Ă©videmment lâusage du thĂ©orĂšme de Pythagore va nous amener les nombres rĂ©els dans beaucoup de puzzles mathĂ©matiques . Ces liens entre nombres et gĂ©omĂ©trie me semblent ĂȘtre un des Ă©lĂ©ments importants de lâenseignement des mathĂ©matiques.
J. Dagenais
La technologie dans les cours de maths
Niveau : 2, 3
Quels outils sont disponibles ? Comment les utiliser ? Quoi faire avec les Ă©lĂšves au laboratoire et ne pas avoir lâimpression de perdre du temps ? Une grande variĂ©tĂ© de logiciels seront explorĂ©s ainsi que lâutilisation des sondes en classe. Aussi, plusieurs applets java et animations Flash :
NCTM Illuminations, Phet, NLVM, Conceptua Math, etc. Nous regarderons Ă©galement quelques pistes dâexploration en mathĂ©matique avec le logiciel ActivInspire.
www.lapageadage.com
M. Demal, J. Dramaix et S. Lafot
Pythagore, une histoire de corde, de noeuds, et dâeau
Niveau : 3, 4
Un simple Ă©coulement dâeau, une corde Ă 13 noeuds et Pythagore et sa rĂ©ciproque deviennent spontanĂ©ment une Ă©vidence pour les Ă©lĂšves. Nous aborderons Ă©galement la dĂ©termination de tous les triplets pythagoriciens afin de crĂ©er dâautres ? cordes Ă angle droit ?, de longueur entiĂšre.
Nous poursuivrons par le problĂšme, nettement moins connu, de lâinfinitĂ© des triangles rectangles isopĂ©rimĂ©triques de longueur L quelconque non nĂ©cessairement entiĂšre. Nous terminerons cette
premiĂšre partie, toujours grĂące Ă Pythagore, par la recherche de la figure dâaire maximale parmi des figures isopĂ©rimĂ©triques ainsi que par le problĂšme bien Belge des frites light.
R. Choulet
Le dĂ©rivĂ© arithmĂ©tique dâun nombre
Niveau : 3, 4
Qui nâa jamais rencontrĂ© cette formule dâĂ©lĂšves : « la dĂ©rivĂ©e de la racine de 3 est Ă©gale Ă l’inverse de du double de racine de 3 » au cours dâapprentissage et dâexercices sur la dĂ©rivation ?
Le but de cet atelier est de donner un sens Ă ce rĂ©sultat qui a fait bondir plus dâun professeur de mathĂ©matiques dans le cadre de la dĂ©rivation des fonctions.
Câest dans celui de dĂ©rivĂ© artithmĂ©tique dâun nombre (quel nombre dâailleurs ?) que notre indigne formule sâĂ©panouira. Les travaux qui y seront Ă©voquĂ©s datent des annĂ©es 50 (soyons prĂ©cis 1950 !) et ont amenĂ© des Ă©tudes connexes plus rĂ©centes mais des prolongements vers de ? hautes ? mathĂ©matiques semblent assez limitĂ©s. Quoique ! On a vu des choses bien surprenantes.
De 10h45 Ă 12h00
Jean-Marie De Ketele
LâĂ©valuation de tĂąches complexes
Ce qui distingue une approche par compĂ©tences bien comprise par rapport aux approches antĂ©rieures (approche centrĂ©e sur les contenus et approche centrĂ©e sur des savoir-faire observables de la pĂ©dagogie dite par objectifs ou encore de la pĂ©dagogie de maĂźtrise) rĂ©side dans la nĂ©cessitĂ© dâapprendre aux Ă©lĂšves Ă mobiliser ces contenus et ces savoir-faire sur certaines familles de tĂąches complexes ou de rĂ©solutions de problĂšmes. Se posent alors plusieurs questions fondamentales :
– quelles tĂąches complexes en rapport avec le niveau dâenseignement ?
– comment apprendre Ă mobiliser ce que lâon a appris ?
– comment Ă©valuer de telles compĂ©tences ?
Cette derniĂšre question nous semble particuliĂšrement cruciale pour de nombreuses raisons : beaucoup dâenseignants nâont pas Ă©tĂ© formĂ©s dans ce sens ; les Ă©preuves standards externes (nationales et internationales) sont validĂ©es par des modĂšles mathĂ©matiques qui reposent sur le postulat de lâunidimensionnalitĂ© de la chose Ă©valuĂ©e alors que la compĂ©tence est par nature nĂ©cessairement multidimensionnelle. Dans notre intervention, nous discuterons de ces problĂšmes et tenterons quelques voies de rĂ©solution.
De 13h45 Ă 15h00
S. Petit
Représentation graphique et résolution de problÚmes
Niveau : 1
Les problĂšmes dits ? additifs ?, constituĂ©s des problĂšmes pouvant ĂȘtre rĂ©solus par une ou plusieurs additions ou soustractions, font partie des premiers problĂšmes rencontrĂ©s par les enfants Ă lâĂ©cole fondamentale. Parmi eux figurent les problĂšmes Ă une transformation. Certains de ces problĂšmes, dâapparence simple, sont encore massivement Ă©chouĂ©s en fin de scolaritĂ© fondamentale.
Afin dâaider les Ă©lĂšves Ă les rĂ©soudre, il leur est souvent demandĂ© de ? faire un dessin ?, mais, en gĂ©nĂ©ral, aucun apprentissage spĂ©cifique nâest mis en place autour de la maniĂšre de reprĂ©senter la situation donnĂ©e. Cette communication proposera une analyse de certaines difficultĂ©s rencontrĂ©es par les Ă©lĂšves en rĂ©solution de problĂšmes additifs et proposera des stratĂ©gies de reprĂ©sentation des donnĂ©es afin dâamĂ©liorer les performances des Ă©lĂšves. Parmi celles-ci figure lâutilisation dâun outil graphique qui sera proposĂ© afin de se substituer aux dessins le plus souvent figuratifs demandĂ©s aux Ă©lĂšves.
R. Faber, J. Poisseroux, S. Richelot et C. Thirion
Les tables de multiplication : au-delà du compte ! Un dispositif tutoré de remédiation en ligne
Niveau : 1, 2
Quâil apprenne Ă distance ou dans lâenseignement en prĂ©sentiel, lâĂ©lĂšve de primaire doit ĂȘtre capable de construire, restituer de mĂ©moire et utiliser les tables de multiplication. HĂ©las, si ces rĂ©flexes multiplicatifs ne sont pas ancrĂ©s, lâapplication de ces tables mobilisera encore temps et concentration chez le jeune adolescent confrontĂ© Ă des tĂąches plus complexes. LâEnseignement Ă Distance de la FĂ©dĂ©ration Wallonie-Bruxelles propose un module interactif en ligne Ă tout Ă©lĂšve qui ne peut compter sur sa connaissance des tables. De plus, un tutorat personnalisĂ© sera assurĂ© par un professeur Ă distance et/ou en classe. Ne vous mĂ©prenez pas, ce module nâest pas un outil de drill. Par des jeux mathĂ©matiques, il fait Ă©merger la structure des tables pour faciliter leur mĂ©morisation. Lors de cet atelier, nous vous inviterons Ă tester ce dispositif et Ă dĂ©couvrir la mĂ©thodologie de lâEnseignement Ă Distance. Nous ferons aussi le point sur les cours tĂ©lĂ©chargeables Ă partir de notre site Internet
www.ead.cfwb.be.
Y. Noël
Jeux et nombres
Niveau : 2, 3
Un tas de points des programmes peuvent ĂȘtre introduitsârĂ©activĂ©sâapprofondis Ă partir de jeux. Citons, sans ĂȘtre exhaustif, le calcul dans les naturels, les entiers, les rationnels, la pratique de la recherche par essai-erreur, la mise en Ă©quation, la rĂ©solution dâĂ©quations et de systĂšmes dâĂ©quation linĂ©aires, la lecture et lâexploitation dâinformations donnĂ©es par un tableau Ă double entrĂ©e, etc. Nous utiliserons le logiciel Jeu 2012 (mise Ă jour du logiciel Jeu 2007 programmĂ© par Guy NoĂ«l). Sur un mĂȘme thĂšme, la crĂ©ation alĂ©atoire de problĂšmes de niveaux diffĂ©rents permet de personnaliser le travail. LâexpĂ©rience montre aussi que, dans le travail en commun avec une classe, le caractĂšre alĂ©atoire de lâĂ©noncĂ© crĂ©e lâĂ©mulation : au dĂ©part, personne nâest avantagĂ©, seul lâordinateur ? connaĂźt ? la solution du problĂšme. Pour tous, de quoi rater votre gare de destination si vous allumez votre ordinateur dans le train ! Des situations curieuses nâutilisant aucun support informatique sont Ă©galement prĂ©vues, par exemple pour rencontrer les dĂ©cimaux illimitĂ©s, donc des sommes infinies, …
P. Dewaele
Un tableau blanc interactif ; pourquoi et pour quoi faire ?
Niveau: tous
Le Tableau Blanc Interactif (TBI) fait son entrĂ©e dans le monde de lâenseignement. Quâapporte-t-il de plus que le tableau noir ou le beamer ? Comment peut-on lâexploiter efficacement ? Quelles sont les ressources multimĂ©dias exploitables en classe ? Au travers de mes 6 annĂ©es dâexpĂ©rience dâutilisateur, je vous prĂ©senterai les atouts et les dĂ©rives de cette outil appelĂ© par nos collĂšgues quĂ©bĂ©cois « Tableau Blanc Intelligent ».
P. Lecomte
CaractÚres de divisibilité, systÚmes de numération et calculabilité
Niveau: 3, 4
Il existe des relations fascinantes entre les propriĂ©tĂ©s arithmĂ©tiques des ensembles de nombres et les propriĂ©tĂ©s syntaxiques de leurs reprĂ©sentations dans un systĂšme de numĂ©ration donnĂ©. Il est pour le moins intrigant que des propriĂ©tĂ©s de la forme de mots soient caractĂ©ristiques de propriĂ©tĂ©s arithmĂ©tiques des entitĂ©s abstraites quâils symbolisent. Un exemple trĂšs simple, mais frappant, est la caractĂ©risation des nombres pairs en base 10 : ce sont ceux dont lâĂ©criture se termine par une des lettres 0, 2, 4, 6, 8, ou celle des multiples de 5 qui, en base 10 de nouveau, sont les nombres dont lâĂ©criture sâachĂšve par 0 ou 5. A priori la propriĂ©tĂ© ? Le mot se termine par telle ou telle lettre ? nâest pas de nature arithmĂ©tique. Nul besoin de savoir ce quâest un nombre pour lâenvisager â on pourrait mĂȘme dresser un animal Ă la dĂ©tecter â et pourtant elle permet de reconnaĂźtre si un nombre est pair ou multiple de 5. LâexposĂ© est une invite Ă dĂ©couvrir quelques beaux thĂ©orĂšmes de la calculabilitĂ© en les illustrant Ă propos des caractĂšres de divisibilitĂ©s et des systĂšmes de numĂ©ration. Il ne demande aucun prĂ©requis, ni en arithmĂ©tique ni en informatique, et est dâune grande accessibilitĂ©.
De 15h30 Ă 16h45
A. Camenisch et S. Petit
Albums Ă compter et apprentissages pluridisciplinaires
Niveau: 1
Les albums Ă compter sont souvent utilisĂ©s dans les classes des Ă©coles maternelles et au dĂ©but des apprentissages Ă©lĂ©mentaires. Mais pour quels apprentissages ? Notre communication se propose dâanalyser une sĂ©lection de ces albums selon trois axes : littĂ©raire, langagier et mathĂ©matique.
Cette triple analyse visera en particulier Ă dĂ©gager les structures profondes ou rĂ©currentes Ă ces ouvrages et Ă montrer les complĂ©mentaritĂ©s et les interactions entre langue, littĂ©rature (notamment Ă travers les systĂšmes de narration) et mathĂ©matiques. Ces analyses aboutiront Ă des propositions didactiques oĂč une approche littĂ©raire de ces albums peut favoriser certains apprentissages mathĂ©matiques et oĂč les mathĂ©matiques peuvent contribuer Ă des apprentissages sur la langue ou devenir le vecteur rĂ©vĂ©lateur de valeurs littĂ©raires implicites.
Chr. Ginoux
Le Fractionary Ă la fin de lâĂ©cole primaire et au dĂ©but du secondaire
Niveau: 2
En dĂ©but dâenseignement secondaire, de nombreux jeunes ne maĂźtrisent pas les fractions (simplification, addition, multiplication). On les retrouve en gĂ©nĂ©ral dans le deuxiĂšme degrĂ© diffĂ©renciĂ© dans lequel il est nĂ©cessaire dâutiliser une mĂ©thodologie alternative pour mettre en place des compĂ©tences que le jeune aurait du maĂźtriser plus tĂŽt. Le Fractionary rĂ©pond parfaitement Ă ces besoins. Les participants auront lâoccasion de rĂ©aliser des activitĂ©s, jeux, dĂ©fis, … progressifs aboutissant Ă la maĂźtrise des fractions par les enfants de fin de lâĂ©cole primaire ou du dĂ©but du secondaire.
J. Dagenais
Intégrer un TNI dans ma classe de mathématique
Niveau: 1, 2, 3
Les tableaux numĂ©riques feront partie intĂ©grante de nos salles de classes dans les prochaines annĂ©es au QuĂ©bec. La mathĂ©matique est une discipline trĂšs intĂ©ressante pour le tableau numĂ©rique tant au niveau du matĂ©riel de manipulation que des objets dâapprentissage. Quels outils sont disponibles ? Comment les utiliser ? Quels sont les pĂ©riphĂ©riques qui sâajoutent bien au TNI ? Quels sont les diffĂ©rents types dâactivitĂ©s Ă exploiter avec un tableau numĂ©rique ? Ăgalement, nous regarderons une stratĂ©gie dâappropriation Ă lâintĂ©gration du tableau numĂ©rique dans lâapprentissage des Ă©lĂšves, les 3-O. Tabl-O, Bur-O et Cerv-O sont les trois lieux oĂč peut (doit) sâeffectuer un travail pĂ©dagogique en classe. Le rĂŽle de lâenseignant et le rĂŽle de lâĂ©lĂšve seront analysĂ©s Ă travers cette stratĂ©gie.
www.lapageadage.com
M. Demal, S. Higny et A. Malaguarnera
Pythagore dans les triangles rectangles, pas uniquement avec des carrés !
Niveau: 2, 3, 4
Pythagore dans les triangles rectangles, pas uniquement avec des carrés !
Dans cette partie ? mathĂ©matico-artistique ?, nous dĂ©couvrirons et dĂ©montrerons que si on dessine sur les cotĂ©s dâun triangle rectangle trois figures semblables quelconques (des polygones
rĂ©guliers ou un personnage de bande dessinĂ©e par exemple), alors lâaire de la surface de la figure construite sur lâhypotĂ©nuse est Ă©gale Ă la somme des aires des surfaces des figures semblables construites sur les deux autres cĂŽtĂ©s. Nous montrerons Ă©galement comment il est aisĂ©, grĂące Ă GeoGebra, de rĂ©aliser de telles illustrations de cette extension du thĂ©orĂšme ainsi que des animations qui suggĂšrent naturellement lâĂ©noncĂ© de cette extension. Enfin, nous prouverons que les cĂ©lĂšbres lunules dâHippocrate de Chios ne sont quâun cas particulier de cette extension.
J. Bair et Fr. Bastin
La transition ? secondaire-université ? dans le cadre du cours de maths : un sujet de réflexion pour tous
Niveau: 3, 4
Dans le monde Ă©ducatif, il est bien connu que le passage dâun systĂšme scolaire Ă un autre peut ĂȘtre dĂ©licat et difficile. Câest notamment le cas lorsquâun Ă©tudiant quitte lâenseignement secondaire pour entrer Ă lâUniversitĂ© : il est confrontĂ© Ă de nombreux changements (environnement, rythme, matiĂšre, exigences, … diffĂ©rents et nouveaux) et au choix dâune orientation qui doit le conduire Ă une profession. Ce constat, enrichi dâexpĂ©riences et dâanalyses de terrain, a conduit Ă la constitution dâun groupe composĂ© dâencadrants (professeurs, assistants, assistants pĂ©dagogiques, chefs de travaux, pĂ©dagogues membres du service ? Guidance-Etude ?) confrontĂ©s Ă cette problĂ©matique de transition, au jour le jour, concrĂštement. Lors de lâexposĂ©, des membres de ce groupe (nommĂ© TSUM pour ? Transition Secondaire-UniversitĂ© en MathĂ©matique ?) vont prĂ©senter quelques-unes de leurs rĂ©flexions et de leurs initiatives pĂ©dagogiques rĂ©centes.
19h30
Banquet
Le labo 4, 33 rue des Pitteurs, 4020 LiĂšge (derriĂšre lâaquarium du Quai Van Beneden).
Niveau: 1
Prix : 40 ⏠(vins et boissons compris)
Apéritif maison
Carpaccio de langoustines accompagnĂ© de sa mĂȘlĂ©e de soja et crevettes grises
CarrĂ© d’agneau, purĂ©e de brocolis, coulis de poivron au thym et asperges blanches
Mousse chocolat noir, espuma choco blanc et grissini